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Andy Murray
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7
0
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0
Jo-Wilfried Tsonga
2
63
0
0
0
Murray
-
Tsonga
Score
1h37
Rendez-vous demain pour le dénouement du Groupe B où Ferrer et Del Potro peuvent encore espérer accompagner Federer en demi-finales.
1h35
Retour à la maison en revanche pour Tsonga qui termine bon dernier du Groupe A. Il va maintenant se reposer avant de se mettre au travail avec Roger Rasheed pour préparer la saison 2013.
1h34
Jeu, set et match Murray ! Le Britannique conclut par un Ace. Il est qualifié pour les demi-finales où il retrouvera Del Potro ou Fededer dimanche.
1h33
Set 2
1h33
7
-
6
6-2 7-6
+
1h32
La première est sauvée par Tsonga (6-3)
1h32
Nouveau mini-break pour Murray qui s'offre 4 balles de match (6-2)
1h30
Murray confirme son mini-break et les deux joueurs changent de côté. (4-2)
1h30
Premier mini-break en faveur de Murray qui a poussé Tsonga à la faute en montant sur son revers. (3-2)
1h27
C'est fait, Murray tient sa mise en jeu en sauvant une balle de break. Jeu décisif !
1h26
Quelle accélération de couo droit de Murray. C'est une balle de tie-break que s'offre maintenant le Britannique.
1h26
6
-
6
6-2 6-6
+
1h25
Le coup droit décroisé du Français échoue dans le couloir, égalité.
1h24
Balle de set pour Tsonga.
1h20
Jeu Tsonga ! Le Français tient son service en sauvant deux balles de break. Il était mené 15-40 mais il a tenu bon.
1h19
5
-
6
6-2 5-6
+
1h14
Murray ne tremble au moment de servir pour rester dans le set et revient à hauteur de Tsonga. Il y a maintenant un vrai combat sur le court.
1h13
5
-
5
6-2 5-5
+
1h13
Débreak confirmé avec la manière par Tsonga ! Le Français a passé la vitesse supérieure sur les derniers jeux. Alors qu'il semblait complètement perdu sur le court jusque-là, il semble avoir retrouvé ses sensations. Il va vers l'avant dès qu'il en a l'occasion et semble en mesure de bousculer sérieusement Murray.
1h09
4
-
5
6-2 4-5
+
1h06
Et le débreak de Tsonga ! Le Français saisi sa première opportunité d'un magnifique retour gagnant de revers. On le sentait venir depuis quelques minutes. Quel jeu du numéro 1 tricolore ! Il va maintenant falloir réussir à enchaîner.
1h04
4
-
4
6-2 4-4
+
1h04
Quel point ! Le point du match remporté par Tsonga qui s'offre trois balles de débreak ! Monumental !
1h00
Tsonga à nouveau convaincant sur sa mise en jeu. C'est beaucoup mieux depuis quelques jeux pour le Français mais c'est maintenant le service de Murray qu'il va falloir aller chercher pour vraiment se relancer.
0h59
4
-
3
6-2 4-3
+
0h58
Jeu Murray. Le Britannique conserve son break d'avance mais il s'est à nouveau retrouvé à 30-30 sur son service. Tsonga ne semble pas très loin de lui poser quelques problèmes sur son engagement. A suivre.
0h56
4
-
2
6-2 4-2
+
0h55
Tsonga tient son service avec autorité. Ça va un peu mieux pour le Français qui a même accroché Murray sur son service dans le jeu précédent. Il a fini par le céder sur une petite erreur d'arbitrage puisque sa balle annoncée faute avait en fait accorché la ligne. Le tricolore n'a cependant pas choisi de faire appel au Hawk-Eye (arbitrage vidéo).
0h51
3
-
2
6-2 3-2
+
0h48
3
-
1
6-2 3-1
+
0h44
Tsonga bataille et tient sa mise en jeu après avoir sauvé une balle de break. Le Français est clairement un cran en dessous du Britannique ce soir, il faudrait presque un miracle pour qu'il parvienne à retourner la situation.
0h43
2
-
1
6-2 2-1
+
0h40
Break confirmé sans souci par Murray. Le Britannique continue son petit bonhomme de chemin alors que Tsonga ne parvient toujours pas à trouver la bonne carburation. Cela tourne à la correction sur le Centre Court.
0h37
2
-
0
6-2 2-0
+
0h36
Et déjà un break pour Murray d'entrée de deuxième manche. Les choses ne s'arrangent pas pour Tsonga qui a servi deux doubles fautes dans ce premier jeu du deuxième acte.
0h35
1
-
0
6-2 1-0
+
0h31
Jeu et première manche Murray ! Le Britannique est en demi-finales de ces ATP Finals. Tsonga a de nouveau cédé trop rapidement dans l'échange pour pouvoir espérer un meilleur sort. Murray a laissé échapper deux premières balles de set, sur un bon retour de Tsonga et une double faute, mais il n'a pas manqué sa troisième opportunité.
0h30
Set 1
0h30
6
-
2
6-2
+
0h23
Jeu Tsonga. Ça va mieux pour le Français au service. Il pousse Murray à servir pour le gain du set et pour s'offrir une place en demi-finales.
0h22
5
-
2
5-2
+
0h20
Jeu blanc pour Murray ! Le Britannique reprend sa marche en avant et continue de dicter sereinement le rythme de ce match.
0h19
5
-
1
5-1
+
0h16
Jeu Tsonga ! Voilà un jeu de service bien maîtrisé pour le Français qui débloque enfin son compteur dans cette partie. Il regagne sa chaise en courant.
0h16
4
-
1
4-1
+
0h14
Encore deux fautes directes de Tsonga alors qu'il était revenu à 30-30 et voilà Murray qui confirme son double break. L'Écossais est à deux jeux des demi-finales.
0h13
4
-
0
4-0
+
0h11
A noter que Richard Gasquet, premier remplaçant de ces ATP Finals 2012, est dans les tribunes pour suivre le match de son pote Jo.
0h10
La tâche s'est sérieusement compliquée pour Tsonga qui, rappelons-le, ne doit pas perdre un set pour rallier les demi-finales.
0h09
Double break pour Murray ! Posté sur sa ligne de fondde court, l'Écossais continue dans la même filière, résiste aux assauts de Tsonga et fini par le pousser à la faute.
0h07
3
-
0
3-0
+
0h07
Break confirmé par Murray ! Pas de souci pour le Britannique même s'il s'est retrouvé à 30-30 dans ce jeu. Tsonga a de nouveau joué deux très bons points sur lesquels il s'est montré très offensif. Il doit continuer dans cette voie s'il veut poser des problèmes à son adversaire ce soir.
0h05
2
-
0
2-0
+
0h01
Et le break d'entrée pour Murray ! Tsonga n'est pas mal rentré dans le match, les balles sortent bien de sa raquette mais le Britannique s'est montré trop solide en défense pour le Français qui a fini par aller à la faute.
0h00
1
-
0
1-0
+
-
C'est parti ! Tsonga au service pour débuter ce match.
-
Place à l'échauffement maintenant. Le match débutera d'ici quelques minutes.
-
Andy Murray a gagné le tirage au sort et a choisi de débuter la partie au retour, laissant donc Jo-Wilfried Tsonga commencer au service.
-
Murray entre à son tour sous les acclamations de "son" public. Le Britannique a encore gagné en popularité au Royaume Uni depuis ses titres aux Jeux Olympiques et à l'US Open.
-
Tsonga est le premier à faire son apparition sur le court. Concentration maximum pour le Français qui rentre sous les applaudissements.
-
Les enjeux du match sont clairs, si Tsonga l'emporte en deux sets il se qualifie pour les demi-finales. Murray, pour sa part, n'a qu'un set à remporter pour rallier le dernier carré.
-
Les ramasseurs de balles viennent de faire leur entrée sur le court et ils vont bientôt être imités par les joueurs.
-
Bonsoir à tous et bienvenue dans l'O2 Arena pour suivre ce dernier match du Groupe A opposant Jo-Wilfried Tsonga à Andy Murray.
Jeu de service
Break
Inconnu
Ultimo aggiornamento flash
Musetti se confie sur la difficulté de jouer à une main (en revers) : “En termes de solidité, le revers à deux mains est inégalable” Lorenzo Musetti ne vit pas la plus belle période de sa carrière. Après un bon tournoi de Monte-Carlo, le numéro 29 mondial a enchaîné deux défaites (à Barcelone et à Madrid). En conséquence, il a pris la direction du Challenger 175 de Cagliari où il a atteint la finale. Battu par un toujours aussi étonnant Mariano Navone (7-5, 6-1), l’Italien a quand même profité de cette escale à domicile pour remporter quelques matchs (3) et quelques points ATP (+50). Avant de prendre la direction de Rome, le joueur de 22 ans a été invité à se prononcer sur le débat des revers. En effet, alors que le nombre de revers à une main diminue à vue d'œil, l’accent est souvent mis sur Stefanos Tsitsipas et Grigor Dimitrov, derniers défenseurs de ce type de revers au sein du top 10 mondial. Musetti a défendu une opinion assez surprenante pour un joueur qui joue, lui aussi, à une main en revers : “D'un point de vue esthétique et stylistique, le revers à une main est sans aucun doute l'un des plus beaux coups qui soient. Il n'y a pas (dans le tennis actuel) de revers à une main qui puisse tenir tête à un revers à deux mains à moitié moins bon. [...] C'est normal qu'on en voit de moins en moins. [...] Si vous jouez à une main, vous avez la possibilité de varier davantage, mais en termes de solidité, le revers à deux mains est inégalable. Il est évident que les enfants apprennent davantage le revers à deux mains. Si je devais enseigner mon revers à une main à l'avenir, même si j'aime mon revers à une main, j'enseignerais probablement le revers à deux mains.” (propos relayés par Punto de Break).
Cerundolo annonce la couleur : “Je peux faire un grand tournoi à Paris” Francisco Cerundolo va mieux. Depuis sa finale à Rio (perdue face à Baez 7-5, 6-0), l’Argentin avait du mal à enchaîner (5 victoires en 10 matchs avant Madrid). Le 22e mondial, très à l’aise sur terre battue, s’est retrouvé au meilleur des moments. Auteur d’un tournoi espagnol très convaincant (quart de finaliste en éliminant Zverev en huitième), le joueur de 25 ans retrouve de l’ambition à moins d’un mois de Roland-Garros : “Je suis arrivé sans grandes attentes, mais petit à petit, j'ai pris confiance en moi. [...] Roland Garros est le Grand Chelem dans lequel j'ai le plus confiance, c'est celui dans lequel je me suis le mieux débrouillé jusqu'à présent. Je pense que je peux faire un grand tournoi à Paris.” Dans des propos relayés par Punto de Break, celui qui sera tête de série Porte d’Auteuil a tenu à relativiser l’importance des résultats dans une vie de joueur de tennis : “Les gens pensent que les joueurs de tennis sont des robots, que nous allons sur le court juste pour jouer, mais en dehors, nous avons une vie avec notre famille, nos amis et nos conjoints. [...] Il ne faut pas se mettre trop de pression, si on n'atteint pas ce qu'on s'est fixé, ce n'est pas la fin du monde non plus, il ne faut pas s'effondrer mentalement à cause de ces attentes qu'on n'a pas pu satisfaire. Quoi qu’il en soit, Cerundolo va devoir continuer sur sa belle lancée à Rome puisqu’il y avait atteint les quarts de finale l’an passé (battu par Casper Ruud).
Rome, dernier théâtre de luttes avant Roland-Garros : la preview du WTA 1000 Le fameux WTA 1000 de Rome a ouvert ses portes ce mardi. Comme chaque année, les meilleures joueuses de tennis de la planète se sont arrêtées en Italie, dernier point de passage avant Roland-Garros. Alors que les premières frappes ont déjà résonné, le tension est à son comble. Rybakina, championne surprise en 2023, pourra-t-elle conserver sa couronne romaine ? Swiatek et Sabalenka vont-elles se retrouver en finale ? Paolini va-t-elle être à la hauteur des espoirs du public italien ? Revue des principales forces en présence du tournoi. - Swiatek et Sabalenka, on en veut encore Après la merveilleuse finale à laquelle se sont livrées les deux championnes ce samedi à Madrid (victoire 7-5, 4-6, 7-6 de la Polonaise), on ne peut qu’espérer une deuxième manche Romaine. Éternelles rivales, les deux joueuses ne se quittent plus beaucoup et sont forcément les deux principales prétendantes au sacre en Italie. Bien installées aux deux premières places mondiales, elles sont les grandes patronnes du circuit WTA. Alors qu’Aryna Sabalenka est la principale poursuivante d’Iga Swiatek depuis février 2023 (à l’exception de 8 semaines en fin d’année 2023 où elle était passée devant la Polonaise), Swiatek a elle, dépassé les 100 semaines au sommet du classement mondial. Ce tournoi est également une excellente occasion pour Sabalenka de refaire un peu de son retard puisque la Biélorusse avait été battue d’entrée l’an passé. - Rybakina, une tenante du titre revancharde Elena Rybakina forme, avec Sabalenka et Swiatek, le big 3 du tennis féminin. Après une longue période d’instabilité, une constance se dessine dans le tennis féminin en 2024. Dans ce contexte, la Kazakhe est plus irrésistible que jamais (30 victoires en 35 matchs). La numéro 4 mondiale arrive en grande confiance à Rome. Déjà titrée à trois reprises cette année (Brisbane, Abu Dhabi, Stuttgart), elle compte bien conserver sa couronne en Italie. Porté par un tennis de très grande qualité, Rybakina veut rêver plus haut. Toujours plus haut. - Collins, la dernière danse continue L’histoire de Danielle Collins avec le tennis connaît une fin mémorable. Alors qu’elle a annoncé sa retraite pour la fin de l’année, la numéro 15 mondiale retrouve un tennis de très grande classe. Titrée coup sur coup à Miami puis à Charleston, l’Américaine n’a pas déçu à Madrid, poussant Sabalenka dans ses tout derniers retranchements avant de céder (4-6, 6-4, 6-3). Bluffante, Collins pourrait bien compliquer les plans de plusieurs joueuses. - Paolini, l’espoir de tout un peuple Jasmine Paolini réalise une saison 2024 de très haut niveau. 29e mondiale en janvier, elle pointe désormais au 12e rang. Huitième de finaliste à Melbourne, elle a crevé l’écran lors du WTA 1000 de Dubaï s’y étant brillamment imposée. La joueuse de 28 ans sera forcément très attendue alors que le circuit WTA s’arrête sur ses terres. Pour rappel, aucune Italienne ne s’est imposée à Rome depuis 1985 (Raffaella Reggi). Pourra-t-elle assumer ? - Sakkari et Vondrousova, les errements doivent cesser Maria Sakkari, 8e mondiale, peine à retrouver des couleurs. Après un début de saison inquiétant (2 victoires en 6 matchs) la Grecque avait retrouvé le chemin de la victoire. Affichant un bien meilleur niveau de tennis, elle enchaînait 11 victoires en 14 matchs (finaliste à Indian Wells notamment). Cela dit, Madrid est passé par là et son élimination dès les huitièmes de finale (face à Haddad Maia 6-4, 6-4) fait tâche. Pour Marketa Vondrousova, le constat est plus affolant. Jusqu’à Stuttgart, la Tchèque n’avait pas fait mieux qu’un quart de finale à Dubaï. La petite lueur d’espoir, entrevue en Allemagne, n’a duré qu’un temps puisqu’elle s’est fait sortir dès le troisième tour à Madrid (par Mirra Andreeva). L’une et l’autre doivent à tout prix se ressaisir. - Jabeur, confirmer le renouveau Ce n’est pas un secret, Ons Jabeur n’était pas au mieux. Son tennis s’écroulait de matchs en matchs. Après un début de saison catastrophique (3 victoires en 10 matchs), la Tunisienne était plongée dans le doute et avait beaucoup de mal à sortir la tête de l’eau. Pourtant, elle respire un peu mieux. Quart de finaliste à Madrid, la numéro 9 mondiale s’est rassurée. Malgré un nouveau craquage au pire moment (elle menait 6-0, 2-0 face à Keys avant de s’incliner), elle a enfin retrouvé le chemin de la victoire. A Rome, il s’agit désormais de confirmer l’embellie. - De Badosa à Boulter, des outsiders au profil étonnant D’autres joueuses, moins attendues, pourraient également faire parler d’elles au Foro Italico. On notera bien sûr la présence de Naomi Osaka, qui continue sa quête de retour au sommet. Emma Raducanu, 21 ans et vainqueure de l’US Open 2021, se retrouve également et voudra faire oublier son échec madrilène. Paula Badosa, gênée par des problèmes physiques de très grande ampleur, ne perd pas espoir et espère
A la conquête de la ville éternelle : la preview du Masters 1000 de Rome Le tournoi ATP de Rome ouvre ses portes ce mercredi. L’évènement, dernier grand rendez-vous de la saison sur ocre avant Roland-Garros, s’annonce cette année encore très intéressant. La plupart des stars du circuit ont fait escale en Italie (27 des 30 premiers joueurs au classement ATP seront présents). Cela dit, les forfaits de dernière minute de Carlos Alcaraz et surtout Jannik Sinner (porte-drapeau du tennis italien) ont quelque peu terni ce bel état des lieux. Malgré tout, les yeux du monde entier risquent d’être tournés vers la capitale italienne puisque les derniers enseignements pour Roland-Garros y seront dressés. Comme toujours, plusieurs questions se posent : Qui peut espérer s’imposer au Foro Italico ? Qui sont les outsiders à surveiller ? Quelles sont les forces en présence ? - Djokovic, le retour du roi Le Serbe n’a jamais connu un début de saison aussi délicat. Largement dominé par Sinner en demi-finale de l’Open d’Australie (6-1, 6-2, 6-7, 6-3), ‘Nole’ ne rassure plus. Après une tournée américaine écourtée, il a encore chuté à Monte-Carlo. Battu par un bon Casper Ruud en demi-finale (6-4, 1-6, 6-4), il veut faire mieux. Il doit faire mieux. Justement, Rome est peut-être l’occasion rêvée pour cela. En l’absence de Sinner et Alcaraz, Djokovic fait figure d’immense favori et pourrait bien profiter de son passage dans la ville éternelle pour se rassurer avant Roland-Garros. - Medvedev, un tenant du titre en plein doute Entre la terre battue et Daniil Medvedev, il y a eu une ébauche de réconciliation. Après plusieurs saisons catastrophiques sur la surface, le Russe avait, à la surprise générale, remporté le tournoi l’an passé. Adaptant son tennis, Medvedev progresse d’année en année sur ocre. Cela dit, la condition physique du numéro 4 mondial a de quoi inquiéter (touché aux adducteurs). Contraint à l’abandon à Madrid (en quart de finale face à Lehecka), le flou sur sa participation reste total. - Rublev, confirmer l’embellie Extrêmement fébrile pendant des semaines (4 défaites consécutives entre mars et mai), Andrey Rublev a retrouvé toute son efficacité à Madrid. Sacré à la surprise générale (face à Auger-Aliassime en finale 4-6, 7-5, 7-5) le Russe enchaîne les victoires. Porté par un service tonitruant et par une solidité mentale toute neuve, le numéro 6 mondial arrive à Rome avec un statut de prétendant au titre. L’heure d’assumer ? - Ruud, l’ocre lui colle à la peau C’est inévitablement l’un des hommes en forme de cette saison. Après un début d’année plutôt bon, l’arrivée de la terre battue a, une fois encore, transformé Casper Ruud. Plus que brillant, le Norvégien fait peur. Finaliste à Monte-Carlo, il s’est imposé à Barcelone. Malgré une élimination précoce à Madrid (face à Auger-Aliassime en huitième de finale), le double-finaliste à Roland-Garros, a tout pour briller et pourrait bien compliquer les plans de plusieurs cadors. - Nadal, l’heure de dire au-revoir C’était déjà l’un des évènements à Madrid et ce sera encore une composante majeure de ce 5e Masters 1000 de la saison. Après avoir fait ses adieux à Madrid, Rafael Nadal va saluer une dernière fois le Foro Italico. L’Espagnol, souverain en son domaine depuis 20 ans, pourra probablement compter sur un soutien populaire en Italie. Vainqueur à dix reprises (record absolu), le taureau de Manacor espère sans doute faire vibrer le public italien une dernière fois. L’atmosphère risque en tout cas, d’être encore éléctrique lorsque le Majorquin jouera ses matchs. - D’Auger-Aliassime à Dimitrov, des outsiders affamés En plus de ceux déjà cités, d’autres joueurs, toujours dangereux, pourraient bien s’épanouir en Italie. On notera d'abord la présence de Félix Auger-Aliassime. Le Canadien, finaliste à Madrid, retrouve de sa superbe et ne sera un cadeau à jouer pour personne. Seront aussi à surveiller Holger Rune et Grigor Dimitrov. Le Danois, hésitant ses dernières semaines, reste capable de très belles choses sur ocre et espère se retrouver en Italie (finaliste sortant). De son côté, Dimitrov, 10e mondial, réalise un exercice 2024 prodigieux et voudra faire oublier sa contre-performance de Madrid (éliminé d’entrée par Jakub Mensik). D’autres joueurs, au classement un peu moins reluisants, seront aussi à surveiller en terre italienne. Jan-Lennard Struff, titré à Munich et excellent à Madrid, sera un danger évident. Matteo Berrettini et Fabio Fognini, locaux en puissance, risquent de débarquer le couteau entre les dents à Rome. Enfin, Mariano Navone, auteur d’une saison sur terre battue aussi impressionnante qu’étonnante (1 titre, 3 finales, 1 demi-finale), pourrait bien lui aussi couper quelques têtes. Il ne faudra pas oublier certains joueurs qui espèrent venir nous donner tort. On peut notamment citer Hubert Hurkacz, Alexander Zverev, Taylor Fritz ou Stefanos Tsitsipas qui tâcheront eux aussi de peser sur l'issue d
Gasquet et Moutet battus en qualifs à Rome, Muller postule pour Nadal Richard Gasquet et Corentin Moutet ont été battus au 2e tour des qualifications du Masters 1000 de Rome ce mardi. Respectivement dominés par Maximilian Marterer (6-3, 6-4) et par Thiago Monteiro (6-3, 6-4). Les deux Français ne verront donc pas le tableau final, à moins d'être repêchés comme Lucky Loser en cas de forfait d'un des 96 protagonistes. En revanche, Alexandre Muller a brillamment obtenu son ticket en se défaisant du Moldave Radu Albot (7-5, 6-2). Il imite ainsi Grégoire Barrère et Terence Atmane qui s'étaient également qualifiés plus tôt dans la journée. Tous les trois font donc partie des 12 prétendants pour un duel face à Nadal au 1er tour, ce qui porte les probabilités à 1 chance 4 de voir un Bleu défier l'Espagnol d'entrée sur la terre battue romaine.
Top des commentaires comments
Dai fabio
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Marco M Marco M
Bravo Flavio!! Fateci divertire voi anche se non c'è jannik
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Francesco B. Francesco B.
Dai flavio
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Marco M Marco M
Dai lucia
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Marco M Marco M
Grande match! Super Darderi
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ElisaC ElisaC
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