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Galo Blanco
 
Andreas Vinciguerra
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Tombeuse héroïque de Rybakina, Sabalenka savoure : “Je ne sais pas comment j’ai fait” Dans un match plus tendu que jamais, Aryna Sabalenka a arraché son billet pour la finale de Madrid au bout du suspens (1-6, 7-5, 7-6 en 2h17). Opposée à une Elena Rybakina très en place, la Biélorusse a longtemps été dominée avant de sortir la tête de l’eau. Après un premier set à sens unique (6-1) où la numéro 2 mondiale n’a pas réussi à mettre son jeu en place, le match a doucement commencé à s'équilibrer. Retrouvant une première balle efficace, Sabalenka allait se révéler de plus en plus pressante au retour. Refaisant son break de retard, elle reprenait les commandes avant de prendre une ultime fois le service de son adversaire pour recoller à une manche partout (7-5). Dans un dernier acte où les deux joueuses tenaient leur service jusqu’au bout, c’est finalement dans un tie-break de très haut niveau que la tenante du titre allait s’imposer sur sa troisième balle de match (1-6, 7-5, 7-6). Interrogée sur cette victoire assez miraculeuse, la joueuse de 25 ans ne semblait pas vraiment en revenir : “Honnêtement, je ne sais pas comment j’ai fait. J'ai juste essayé de faire de mon mieux, de me battre sur chaque point. J'espérais avoir une chance de faire basculer le match, donc je suis super contente d'y être parvenue. Je suis vraiment contente parce que c'était un match très difficile, je me suis battue contre mon service pendant tout le premier set, je n'arrivais pas à prendre confiance jusqu'à ce que je commence à gagner des jeux plus facilement. Cela m'a donné de l'énergie supplémentaire pour continuer à me battre. [...] Le fait de retrouver un service normal m'a donné l'opportunité de me battre pour le match.” (propos recueillis en conférence de presse). Depuis quelque temps, de nombreux suiveurs du tennis féminin tendent à considérer Aryna Sabalenka, Iga Swiatek et Elena Rybakina comme un “big 3”. Questionné sur l'existence réelle ou non de ce “big 3”, la double vainqueure de l’Open d’Australie (2023, 2024) a plutôt répondue par l’affirmative : “J’aime le fait que nous soyons appelés les Big 3, j’ai l’impression que, d’une certaine manière, nous nous motivons les uns les autres. Parfois, nous nous donnons du fil à retordre, mais en même temps, cela nous aide à nous améliorer et à travailler de plus en plus dur, à la recherche de nouvelles choses. J’ai été absente pendant quelques tournois (aucune demi-finale depuis l’Open d’Australie), donc nous verrons comment les choses évoluent, cela n’a été qu’un tournoi. J’espère que la saison se poursuivra ainsi et que nous redeviendrons le Big 3.” En finale, Aryna Sabalenka défiera l’éternelle numéro 1 mondiale, Iga Swiatek. Ce match sera une revanche puisque l’an passé la Biélorusse avait réussi l’exploit de faire tomber la Polonaise pour s’adjuger un deuxième sacre à Madrid (après 2021).
Paolini espère briller à Rome : “Réussir à Rome signifierait beaucoup pour moi” Jasmine Paolini surprend son monde en 2024. A 28 ans, elle réalise la meilleure saison de sa carrière comme le montre son sacre à Dubaï en février. A l’approche du Masters 1000 de Rome où elle sera le principal espoir du public chez les femmes, Paolini s’est confiée à nos confrères de Punto de Break. Solidement ancrée dans le top 15 mondial depuis février (13e cette semaine), Paolini est attendue au tournant. Interrogée sur son nouveau statut, l’Italienne veut garder la tête froide : “Gagner un WTA 1000 ne m'a pas changé la vie. L'un de mes objectifs a toujours été d'aller plus loin dans ce genre de tournois, donc c'est très positif d'avoir un résultat comme celui-là pour augmenter la confiance dans mon jeu. [...] Je suis consciente que ce n'est pas quelque chose de facile à atteindre. Je suis très fière d'avoir atteint un classement aussi haut, parfois j'essaie de voir les choses comme si j'étais cette petite fille qui a commencé à jouer il y a de nombreuses années, celle qui a toujours rêvé d'être la meilleure joueuse de tennis italienne au monde. Aujourd'hui, tout est un peu différent.” La numéro 1 italienne a également eu l’occasion de revenir sur le cas Jannik Sinner, véritable porte-drapeau du tennis italien (numéro 2 mondial et vainqueur de l’Open d’Australie en janvier) : “Nous (Italiens) nous poussons tous les uns les autres à être meilleurs chaque jour, en mettant l'accent sur la figure de Jannik Sinner, qui est celui qui pousse le reste d'entre nous.” En ce qui concerne le Masters 1000 de Rome, le tournoi le plus important de la saison parmi ceux organisés sur le sol italien, Paolini se sait attendue et espère briller du côté du Foro Italico : “C'est évidemment un tournoi très spécial, différent des autres. C'est le tournoi le plus important que nous ayons en Italie. Chaque saison, il y a beaucoup d'attentes sur les joueurs locaux, ce qui n'est pas facile non plus. Je veux profiter du public, de toutes les personnes qui viendront nous soutenir, et j'espère que j'aurai de la chance et que je profiterai de tout cela sur le court.”
Insolite - Collins égale un record fou et ironise Alors qu’elle a annoncé qu’elle prendrait sa retraite à la fin de la saison, Danielle Collins réalise un exercice 2024 prodigieux. Très relâchée, l'Américaine, 54e mondiale en début de saison, marque les esprits. Après un impensable doublé Miami/Charleston, Collins s’est hissée jusqu’en huitième de finale à Madrid (finalement battue par Aryna Sabalenka, tenante du titre). Forte de ses beaux résultats, Collins pointe désormais à la 15e place mondiale. Signant 15 victoires consécutives, elle devient également la plus vieille joueuse à remporter autant de matchs d'affilée depuis Serena Williams en 2015. Taquine, l’Américaine a répondu, sur ses réseaux sociaux, de manière assez amusante à cette annonce : “Qui aurait cru qu’une mamie comme moi pouvait gagner 15 matchs ?” Quoi qu’il en soit, Collins tutoie les sommets cette saison et espère probablement monter encore plus haut… Affaire à suivre !
Medvedev abandonne, Lehecka qualifié pour les demi-finales à Madrid ! On vous parlait de l'état physique du Russe il y a quelques minutes. Blessé aux adducteurs dans le 4e jeu du match, Daniil Medvedev a demandé un temps mort médical dans la foulée mais l'intervention du kiné n'a pas suffi. Comme on pouvait s'en douter, le numéro 4 mondial n'a pas réussi à aller au bout et a abandonné après avoir joué la 2e partie du 1er set presque sur une seule jambe. Jiri Lehecka se retrouve donc propulsé en demi-finale à la Caja Magica où il défiera Félix Auger-Aliassime (qui a bénéficié du forfait de Jannik Sinner). Décidemment, les forfaits et abandons ternissent la fin de ce Masters 1000 de Madrid. En demi-finale, ce sont donc deux joueurs n'ayant pas ou presque pas joué en quart qui vont s'affronter (Lehecka et Auger-Aliassime). Evoluant à un niveau exceptionnel cette semaine mais profitant aussi d'un joli coup du sort, l'un de ces deux invités surprises verra la finale. Ce tournoi de Madrid continue de défier les pronostics puisqu'il ne reste plus qu'un seul top 10 encore en course (Andrey Rublev). Ainsi, une chose est sûre : un vainqueur inattendu sera sacré dimanche.
Top des commentaires comments
Continua a giocare da attaccato ai teloni sperando che alla lunga l'avversario sbagli .. ogni tanto tira fuori dal cilindro qualche magia grazie al talento che ha ma non è mai propositivo nel gioco ..
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Francesco B. Francesco B.
Alza dei campanili da quarta categoria ogni tanto... sembra che debba avere tempo... mentre altre volte è più aggressivo, gli manca costanza e gli manca fiducia... cmq è a Cagliari proprio per questo,
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ing.fabiorizzi ing.fabiorizzi
E semplicemente in balia del primo che capita. A prescindere del valore dell'avversario! Mentalmente è a Zero!
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Federico Osti Federico Osti
Inguine
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Lollo Lollo
Un 250 ...
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luys luys