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Roger Federer
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Rafael Nadal
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Roger Federer
 
Rafael Nadal
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Età
37
185cm
Altezza
185cm
85kg
Peso
85kg
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Posizione
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Ultimi 6 mesi
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12 lug 2019
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16 mar 2019
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15 ott 2017
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2 apr 2017
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16 mar 2017
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29 gen 2017
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1 nov 2015
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10 nov 2013
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17 ago 2013
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19 mag 2013
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15 mar 2013
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18 mar 2012
26 gen 2012
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22 nov 2011
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28 nov 2010
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17 mag 2009
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6 lug 2008
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8 giu 2008
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18 mag 2008
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27 apr 2008
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17 nov 2007
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8 lug 2007
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20 mag 2007
22 apr 2007
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18 nov 2006
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10 lug 2006
11 giu 2006
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14 mag 2006
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23 apr 2006
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4 mar 2006
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28 mag 2005
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27 mar 2005
24 mar 2004
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Ultimo aggiornamento flash
Avant de défier Rublev en finale, Auger-Aliassime savoure : “La vie et le tennis me sourient à nouveau” Félix Auger-Aliassime renaît à Madrid. Après une saison 2023 catastrophique, le Canadien semble enfin reprendre du poil de la bête. Auteur d’un début de saison plutôt bon, il est monté d’un cran en Espagne. Bénéficiant de circonstances plus que favorables (retrait de Jakub Mensik au troisième tour, forfait de Jannik Sinner en quarts de finale et abandon de Jiri Lehecka en demi), l’ex numéro 6 mondial a parfaitement tiré son épingle du jeu pour se hisser en finale. Auteur d’un très grand match en huitième de finale (face à Casper Ruud, victoire 6-4, 7-5), il s’avoue heureux malgré tout : “Il est évident que je me sens mal pour ceux qui ont dû abandonner contre moi. [...] J'ai eu plusieurs blessures et je sais ce que l'on ressent lorsqu'on est privé de faire ce que l'on aime le plus au monde. Je sais que je suis face à une grande opportunité dans ma carrière. Je pense que je me suis bien entraîné pendant des semaines, j'avais un bon feeling et contre Ruud j'ai obtenu une victoire qui m'a donné beaucoup de confiance.” Questionné sur ce joli retour de flammes, Félix est revenu sur ses mois de galère tout en insistant sur l’importance qu’a joué sa détermination : “J'avais l'impression de m'améliorer d'année en année, d'être un meilleur joueur. Puis est arrivée l'année 2023, qui a été une année terrible dans ma carrière et dans ma vie, et nous avons oublié tout ce que j'avais fait auparavant. [...] Ce dont je suis le plus fier, c'est d'avoir gardé ma passion pour le tennis dans les moments difficiles, d'avoir su gérer la frustration et de continuer à vouloir être un grand joueur de tennis de toutes mes forces. [...] La vie et le tennis me sourient à nouveau.”
Rublev revient sur l’hécatombe de blessures à Madrid : “Chaque joueur de tennis est responsable de lui-même” Renaissant sur l’ocre madrilène, Andrey Rublev va vivre une nouvelle finale en Masters 1000. Avant d’affronter Félix Auger-Aliassime ce dimanche (pas avant 18h30), le Russe a été questionné sur la succession de forfaits et abandons qui a touché le tournoi cette année. En effet, Jannik Sinner s’est retiré avant même de jouer son quart de finale (face à Auger-Aliassime) tandis que Medvedev et Lehecka ont abandonné en cours de partie. Si l’on ajoute à cela le forfait d’Alcaraz et de Sinner pour Rome ainsi que l’incertitude sur la participation de Medvedev, il est clair que les blessures se succèdent plus que jamais. Le tout, à seulement quelques semaines de Roland-Garros. A ce sujet, le numéro 8 mondial a expliqué : “Chaque fois que l’on va sur un terrain, que ce soit pour s’entraîner ou pour jouer, il y a un risque. [...] Je pense que tout dépend du moment. Lorsque vous vous sentez bien, vous vous sentez bien physiquement et il y a moins de risques qu’il vous arrive quelque chose. Lorsque vous êtes fatigué ou que les choses ne vont pas bien pour vous, vous avez plus de problèmes avec votre corps. Chaque joueur de tennis est responsable de lui-même et sait à quel moment il doit pousser plus ou moins sur son corps.”
Malgré la défaite, Sabalenka garde le sourire : “Je suis prête à manger des pâtes, des pizzas et beaucoup de glaces” Au terme d’un duel déjà iconique, Aryna Sabalenka a cédé sa couronne à Iga Swiatek (6-4, 5-7, 7-6). La tenante du titre n’a en effet pas réussi à conserver son titre, malgré trois balles de match. Malgré la déception de la défaite, la Biélorusse a tenu à rester positive. Dans le doute depuis plusieurs semaines, elle semble avoir retrouvé son tout meilleur tennis. Très agressive, la numéro 2 mondiale, plus puissante que jamais, a fait très mal à toutes ses adversaires (40 coups gagnants envoyés en finale). Interrogée en conférence de presse, la double vainqueure de l’Open d’Australie a tenu à dédramatiser la situation, se projetant déjà sur le tournoi de Rome : “J’ai un vol tôt demain matin (dimanche matin, pour Rome), donc je ne dormirai probablement pas cette nuit. La première chose qui me vient à l’esprit, c’est que je suis prête à manger des pâtes, des pizzas et beaucoup de glaces. Le tennis va très vite, nous n’avons pas beaucoup de temps pour nous détendre, nous amuser ou boire (rires). Je suis heureuse d’être tête de série et de bénéficier d’un bye au premier tour (à Rome). J’aurai quelques jours de plus pour récupérer. C’est l’un de mes tournois préférés, avec de très belles installations et une ville magnifique.”
Titrée au terme d’une finale mémorable, Swiatek s’est inspiré de Nadal : “Rafa a eu quelques matchs comme ça” Après un combat héroïque de plus de 3h (7-5, 4-6, 7-6 en 3h11), Iga Swiatek a fini par arracher son vingtième titre en carrière. La numéro 1 mondiale, qui a dû écarter trois balles de matchs, signe l’une des plus belles victoires de sa jeune carrière. Face à une Aryna Sabalenka impressionnante, la Polonaise a bien failli revivre la désillusion de l’an passé où elle s’était inclinée en finale (déjà face à la numéro 2 mondiale). Très discrète sur le court, Swiatek n’a pas caché son plaisir à l’issue de la rencontre. S’écroulant sur la terre battue de Madrid, elle n’a pu cacher ses larmes. Savourant son succès, la numéro 1 mondiale a ironisé, remettant à leur place les plus fervents détracteurs du tennis féminin. S’adressant au public à l’issue de match, elle a déclaré: “Eh bien, qui va dire que le tennis féminin est ennuyeux maintenant, n’est‐ce pas ?”. Au vu du niveau proposé par les deux protagonistes de cet immense duel, on ne peut que lui donner raison. Revenant sur cette magnifique victoire, la joueuse de 22 ans n’a pas boudé sa joie : “Je suis très fière de moi et très heureuse, parce que quand vous jouez des matches comme ça et que vous devez vous battre autant, ça rend les choses encore plus belles. [...] Je pense que c’est la finale la plus intense et la plus folle que j’ai joué.” (propos relayés par L’Equipe). Questionnée sur la manière avec laquelle elle a réussi à garder son calme pour se sortir d’un match aussi difficile, Iga confesse avoir pensé à Rafael Nadal : “J'ai eu l'impression que je devais me battre pendant deux heures et ça n'a pas vraiment marché. Je me disais : “Oh, mon Dieu, est-ce que je vais bientôt me sentir un peu plus détendue ?”. Ce n'était pas vraiment le cas, mais au bout de deux heures, ça l'était. Ça m'a surprise. [...] Une chose m'est venue à l'esprit, c'est que je pense que Rafa a eu quelques matches comme ça. Mais je me souviens exactement du moment où il a joué contre Medvedev en Australie (finale de l'Open d'Australie 2022, remportée par l’Espagnol en 5 sets 2-6, 6-7, 6-4, 6-4, 7-5) et où il a eu un déclic. [...] Cela m'a donné l'espoir que peut-être il y aurait un déclic, même après deux heures.” Quoi qu’il en soit, la numéro 1 mondiale s’adjuge un nouveau succès de prestige et monte déjà en puissance en vue de Roland-Garros.
Mannarino, une aversion rarissime pour la terre battue Entendons nous bien, la carrière d’Adrian Mannarino est très honorable. Le Français, 20e mondial cette semaine, réalise encore de très belles choses sur le circuit ATP (huitième de finaliste du dernier Open d’Australie en faisant notamment tomber Ben Shelton et Stan Wawrinka). Cela dit, comme souvent, le joueur de 35 ans ne vit pas très bien l’arrivée de l’ocre. Après des débuts manqués à Madrid (défaite 6-0, 6-4 face à Auger-Aliassime), le gaucher n’a pas réussi à se rassurer à Aix-en-Provence (battu 6-2,6-2 par Gasquet). L’aversion du Français pour la terre battue se confirme une fois de plus. Une telle incapacité à remporter des matchs sur une surface, surtout pour un joueur de sa catégorie, est quand même rarissime. “Jeu, Set et Maths” vient, à ce sujet, de publier une statistique plus qu’édifiante. Parmi tous les joueurs ayant disputé au moins 50 matchs sur terre battue (depuis 1990), le Français a tout simplement le pire ratio de victoire (21,9%).
Top des commentaires comments
Dai lore
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Marco M Marco M
Forza Musetti
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Marco Marco
Si può dire che la Swiatek quando vince in scioltezza va tutto bene, quando invece c'è da tirare fuori gli attributi .. fa fatica?
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stw s stw s
Comunque mai stato un fan della Serenona, ma queste 2 ai bei tempi se le sarebbe mangiate a colazione.
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stw s stw s
Azz
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